Circulo Dorado de Alquimistas: Magdala: LES NOUVELLES RELATIONS

Cercle d’Or d’Alchimistes

CANALISATION: LES NOUVELLES RELATIONS

Présente MAGDALA, Marie Madeleine dans la Nouvelle Énergie

Canalisée par Raiza Preziuso et Malú Gaxiola

Traduit par Richard Fache

15 Novembre 2011

Nous t’invitons à prendre une respiration profonde et à permettre l’ouverture du cœur, de toutes les chambres et couloirs du cœur. Ceci est un espace pour ressentir, ainsi le Cercle d’Or t’invite à respirer avec le cœur en permettant que le mental soit à son service.

Cette canalisation peut être écoutée en cliquant sur :

http://www.awakeningzone.com/Episode.aspx?EpisodeID=700

Sois la bienvenue, chère famille de Magdala, bienvenue à tous et à tout dans cette espace d’Amour, de relation authentique et d’Alchimie Divine. Bienvenue à votre cœur, bienvenue à mon cœur et à ce thème si spécial de l’union sacrée ; À ce thème tellement abordé des Nouvelles Relations, les relations dans la Nouvelle Énergie. Soyez tous les bienvenus.

Mes licornes se reposent. Des choses se produisent… des choses se passent dans la Nouvelle Énergie.

Et je suis ici avec vous tous, célébrant cette intervention, célébrant d’une certaine manière que, dans cette célébration de tous nous ne soyons pas dérangés par des appels, nous célébrons tous, nous célébrons cet espace, au-delà du mental, au-delà des jugements, au-delà des problèmes. Tout problème est une opportunité pour pouvoir réellement générer une solution créative, une nouvelle solution.

Soyez tous les bienvenus dans cet espace d’Amour, de Bénédiction, de Grâce, d’Élégance et d’attention. Soyez tous les bienvenus.

Et j’étais en retrait en train d’écouter et de sentir. En train d’écouter et en train d’attendre pour vous écouter, en train de co-créer avec vous ce thème, le thème des Nouvelles Relations.

Si vous vous rappelez, nous avons déjà parlé à propos de la conscience de ce que c’est de mouvoir les énergies bloquées. Ensuite, nous avons parlé et nous avons fait référence à l’importance de développer notre sensibilité, notre espace de sensibilité qui nous permet chaque jour d’être plus présent, qui nous permet réellement d’être plus conscients, plus éveillés, plus alertes de nous-mêmes et en conséquence de tout notre entourage.

Et maintenant, dans cet espace, dans ce quatrième show, cette sensibilité prend une place beaucoup plus importante, parce que c’est un thème qui nous touche et qui vraiment nous concerne tous, le thème des Nouvelles Relations. Et nous parlons de nouvelles relations car elles sont nouvelles et car elles sont inconnues. Parce que quand nous parlons de nouvelles relations, nous pénétrons dans un nouveau scénario de potentiels et de possibilités. Nous pénétrons dans un scénario dans lequel vous ne disposez pas des ingrédients et du mode d’emploi écrit. Nous entrons dans un scénario où c’est vous qui, avec votre sensibilité et votre ressenti, avec votre expansion de conscience créez réellement un nouveau modèle, un nouveau patron que d’autres ont pratiquement besoin et attendent d’une manière urgente.

De nouvelles relations, de nouvelles manières d’entrer en relation avec nos partenaires. De nouvelles manières de communiquer avec nos familiers, avec nos pères, avec nos mères, avec nos enfants. De nouvelles formes d’entrer en relation même avec nous-mêmes. De nouvelles formes d’entrer en relation avec notre entourage. De nouvelles manières de communiquer avec tes quatre éléments et avec ton calice sacré, avec toute ta barque de conscience.

Dans le dernier show, nous avons parlé à propos de ce qu’était le romantisme. Nous voyons le romantisme comme quelque chose de très lié à des concepts préconçus. C’est très important et je veux partager avec vous dans mon programme, l’importance dans les nouvelles relations de la présence d’amour. L’importance dans les nouvelles relations de cette conscience alchimique qui permet précisément la transformation d’un état de relation à un autre, à un état qui te permet de générer pour toi et pour ton entourage, beaucoup plus de jouissance, beaucoup plus de joie et de transformation qui rayonne à travers ta propre transformation.

Toutes les structures sociales, politiques et économiques, d’une certaine manière sont en train de changer. Nous participons à ces changements et les relations reflètent aujourd’hui un profond état de crise dans lequel se trouve, d’une manière ou d’une autre, la conscience de l’humanité. Et bien sûr, dans la mesure où nous tous, nous nous sommes identifiés où nous nous identifions chaque fois plus au mental, la majorité des relations ne se fixent pas vraiment à notre barque de conscience, à tout notre être et se font très mentales, deviennent une source de douleur, une source de drame, de souffrance, de frustration et bien sûr, chère famille, demeurent dominées par les problèmes et par les conflits.

Dans votre espace, dans toutes les dimensions que vous créez, mais surtout dans la dimension humaine, il y a des millions de personnes maintenant qui vivent seules ou sont mères célibataires, ou pères célibataires ; d’une certaine manière qui sont comme incapables d’établir une véritable union sacrée, une véritable relation intime et qui sont dans un processus de répétition, d’une espèce de déséquilibre mental, de drame du mental de toutes les relations passées et de celles qu’elle sont en train de vivre.

D’autres relations dans leur humanité, dans leurs espaces passent d’une relation à l’autre, d’un cycle de plaisir et de douleur à un autre, en quête d’un objectif ou d’un but farouche, un but chaque fois plus éloigné de sa réalisation à travers l’union avec la polarité de l’énergie contraire. Nous sommes en train de mouvoir beaucoup d’énergie ici, s’il te plaît respire… une profonde respiration.

Bienvenus aux nouveaux qui se connectent en ce moment et bienvenus à toutes nos circonstances de l’énergie qui bougent ici.

Mais il y a d’autres personnes qui s’engagent également et malgré ce compromis et bien que dans les relations –et dans ce cas je me réfère plus spécifiquement aux relations de couple- ils poursuivent ensemble une relation dysfonctionnelle dans laquelle prévaut sans aucun doute un peu la non union sacrée, dans laquelle prévaut la négativité et en quelque sorte qui les font rester dans des schémas de sécurité, de structure économique ou ce que vous appelez la force de l’habitude, la peur d’être seul ou tout autre type d’arrangement bénéfique. Même, dans la majorité des cas, pour vous, la famille, pour cette addiction souvent inconsciente à l’excitation du drame émotionnel et de la douleur.

Cependant, chère famille, toute crise ne représente pas seulement un danger, une dépression, une douleur, mais chaque crise que tu vis à cette époque de si profonds changements, représente aussi une immense, une grande opportunité de changer le cap de ta barque. Chaque crise représente une énorme opportunité de transformer les couleurs, les formes, les détails, la lumière que ta barque possède.

Si d’une certaine façon ces relations dynamisent et magnifient tout ce que sont les modèles du mental et activent cette barque de douleur, comme cela se passe de nos jours, pourquoi ne pas accepter, accepter ce fait qu’il y a une crise et que nous pouvons d’une certaine manière essayer de voir, d’avoir plus conscience de ce que nous vivons.

Pourquoi ne pas coopérer avec cette crise qui est en quelque sorte une opportunité d’éviter des relations ou continuer à poursuivre un fantôme, un compagnon idéal comme réponse à ses problèmes ou comme moyen de se sentir réalisés ?

Où est-ce que les relations dans la Nouvelle Énergie ont besoin de beaucoup d’acceptation de la part de l’Un, de beaucoup d’acceptation de la part de cette Barque de Conscience que tu es ?Nous suivons le compagnon idéal, nous suivons le couple idéal et en quelque sorte pratiquement nous oublions notre Barque de conscience et nous nous lançons vers une autre barque, dans l’attente que cette barque-là nous donne toutes les réponses.

Respirons profondément, en permettant l’accès à toutes les énergies qui nous accompagnent.

Les crises, la démence, la douleur et la souffrance que tu peux expérimenter, dans n’importe quelle relation, est une grande opportunité d’Alchimie Divine si tu demeures présent, si tu acceptes ce scénario en tant que l’alchimiste qui VOIT, l’alchimiste qui ouvre et accepte ses yeux divins, qui observe la situation sans s’impliquer. Cela est la famille divine, car tu peux participer à une relation et tu peux couper le flux d’énergie de la douleur, du drame et de la souffrance. Tu peux permettre à chacun de dévoiler son propre espace, permettre à chacun de développer sa propre conscience et de continuer, continuer à profiter de cette relation mais avec un point de vue différent ; Depuis un espace et depuis une dimension divine de ta Présence d’Amour.

Et voilà la Maga et vous voilà tous et me voilà, Magdala, manifestant notre invité, manifestant la présence aimante de la Docteure Tibaire González. Elle est ici maintenant avec nous. Rayna dit que ça a semblé juste une minute et qu’elle est venue trop tôt. Mais elle est ici avec nous maintenant et nous accompagne. Je vais continuer, je vais prendre du recul et je vais lui permettre de faire son introduction.

Bienvenue, bienvenue, belle sœur!

Dra. Tibaire Gonzalez : Bonjour Raiza, Bonjour Malu. Une accolade de mon âme remplie d’amour pour vous tous qui sont connectés en ce moment. Réellement cela a été une magico-télé transportation pour pouvoir arriver si vite. Mais cela a été intéressant : comment créer, malgré tous les inconvénients technologiques, de pouvoir partager et après je me suis sentie infiniment heureuse d’être invitée à cette fête. Réellement je me suis sentie comme de l’autre côté du mur en train de crier : « Hé, je suis ici ! Vous ne m’entendez pas ?

Maintenant, parler de l’Amour, ce sera comme de parler à l’intérieur d’une bulle et de partager avec Magdala, waou, c’est un challenge, c’est grandiose. Et en vérité, je me sens tellement, tellement en famille. C’est un privilège de pouvoir parler avec vous. J’ai donné des conférences, des ateliers, j’ai travaillé avec des patients tous les jours, mais ce n’est pas la même chose que de se sentir connecter d’âme à âme.

Qu’est-ce qui se passe avec l’amour ? Nous sommes habitués à parler du chaos du monde, du chaos du système économique et nous ne parlons pas autant du chaos des couples. Et en quoi consiste ce chaos ? Le chaos, c’est que nous essayons de faire entrer dans la même vieille coupe, désormais fêlée, le vin d’une Nouvelle Énergie et cela ne cadre pas, n’entre pas. Le Nouvel Amour est expansif.

Prête attention, les problèmes que je vois quotidiennement, ils se répètent les uns après les autres.

Tous ont à voir avec le contrôle. Nous voulons contrôler le couple. Nous voulons qu’il représente nos rêves, nos fantaisies, des patrons répétés, des mélodrames arrivent et nous savons que nous agissons comme un GPS. Le contrôle pour cette angoisse de posséder l’autre, pensant que c’est quelqu’un d’autre qui va nous apporter le bonheur, l’Amour, la Joie. Ceci est une terrible irresponsabilité ! Je suis responsable d’être heureux, que ma coupe soit pleine, remplie, que ma barque tienne tout ce dont j’ai besoin pour naviguer. Et je navigue ensemble avec autrui, qui profite simplement, comme moi, d’ÊTRE.

Quand quelqu’un parle aux couples sur l’Amour, la liberté, l’autonomie, ils sortent presque en courant de la salle de consultation. « Hé, nous ne sommes pas venus pour cela » Nous voulons nous accoupler l’un avec l’autre, nous attacher l’un à l’autre ; que lui fasse ce que je veux, qu’elle fasse ce que j’attends d’elle, qu’il représente mes fantasmes, mes rêves, ma fantaisie. Rarement nous voulons simplement être et que l’autre soit. Et, expliquer comment cela se fait –quand il n’y a même pas un brin d’information, une recherche, c’est réellement difficile.

En pratique, que faisons-nous dans la consultation ? D’abord, essayer de voir quel est le vieux scénario que nous répétons. Et, bien que mon orientation soit psychanalytique, il ne s’agit pas de réviser tout le passé, d’aller à interpréter tout le passé. C’est un scénario simple. Ainsi comme un conte de fées. Qui est l’ogre ? Qui est la petite princesse, la fille dans la citrouille, dans la tour, le dragon ? Et de voir comment ces personnages se répètent. Et de savoir qu’il y a quelqu’un qui crée cette œuvre et qui force l’autre à le représenter. Les conflits existent à cause de cela.

« Je veux que tu représentes pour moi Hamlet, le prince, le dragon, le poursuiveur, l’ogre, et l’autre attend la même chose de moi. Et nous commençons à forcer avec les vieilles recettes. Les très vieilles recettes que nous avons tous vécues : les jalousies, limiter l’expansion de l’autre, la croissance, ne pas lui permettre sa vérité. La vérité est un des sujets les plus compliqués dans le couple. Tous veulent : « Raconte-moi tout. Je veux que ce soit un libre arbitre. Partage tout si tu m’aimes » Une chose horrible s’il en est.

Je ne peux pas tout savoir de l'autre parce que l'autre ne sait pas tout sur lui-même et n'est pas obligé de tout partager. Juste certaines choses à montrer, à partager, les découvrir, et je fais la même chose. Cela se fait uniquement quand il y a du respect, de la spontanéité. Et combien d'entre nous nous sommes sentis complètement spontanés, libres dans une relation?

Simplement montrer certaines choses, les partager, aller les découvrir, et je fais la même chose.

Alors ce vieux scénario s’orne d’un tas de petits jeux de contrôle. Nous dévoilons ces jeux de contrôle mais pour autant que je leur montre quoi faire avec les jalousies, quoi faire au sujet de la vérité, de l’infidélité, de la dépendance, c’est un des jeux les plus amusants. Je joue que je dépends de toi. Je joue à ce que tu crois que tu dépends de moi. Si nous ne sommes pas ensemble c’est comme si nous ne marchons pas.

Comment je tombe amoureux de ta liberté et de la mienne en sachant que nous sommes parce que nous choisissons d’être ? Le temps nécessaire. Ceci est une autre des grandes pressions : « Pour toute la vie ». « Je ne sais pas si cette relation mène quelque part ». Je ne sais pas où elle doit mener, seulement qu’elle ne soit pas jusqu’à toi-même, mais les relations sont pour cela, pour te connaître. Nous démontons les jeux mais on doit aller à cette hypothèse.

Pour ce que j’ai vu dans le chat, tous les messages sont clairs : Il s’agit de tomber amoureux de soi-même. C’est la première relation que je dois cultiver. Combien ça nous coûte ! Combien ça nous coûte d’être ! Quand je m’imaginais que j’allais être ici à parler, toutes mes alarmes se déclenchèrent : « je dois lire, je dois chercher, je dois vérifier ». Heureusement avec la course j’ai laissé toutes mes notes. Il s’agit d’être moi-même et de me sentir à l’aise. Exprimer ce que je suis, ce que je fais, comment je vois la chose, avec confiance. C’est avoir confiance en soi-même et ça c’est le grand travail. Quand j’ai confiance en moi-même, que diable vais-je essayer de faire confiance à l’autre, ou que l’autre me fasse confiance ou surveiller l’autre pour qu’il se comporte bien ! C’est son affaire.

Gérer la communication, la communication respectueuse. Comment pouvons-nous faire ? Et je donne des conseils très simples, car si ce n’est pas simple ça ne fonctionne pas. Parler à la première personne et parler d’un ton agréable. « Je sens … » « Il me semble …” “Je vois…” Comment toi, tu le vois? Il s’agit d’un partage, pas de forcer. Tu dois le voir comme tu dois le voir… Il y a une vraie raison, unique, définitive…. Non ? Et c’est si intéressant, de ta barque on le voit d’une manière et depuis la mienne d’une autre.

Et il y a quelque chose que je ne voudrai pas oublier de dire en parlant de l’Amour. Nous tous qui sommes connectés, nous avons passé beaucoup de temps à chercher, le développement personnel, à se trouver soi-même. Il faut être tolérant. Imaginez, moi, psychiatre, Shaumbra, experte en amour, ne puis-je pas me permettre une discussion de temps à autre, faire des erreurs ? et quand je me trompe, quand je commets une maladresse, quand je dis quelque chose d’inapproprié … m’aimer.

Parce que c’est facile d’aimer quand vous faites les choses correctement. Alors, c’est, nous sommes dans le processus de créer une relation avec nous-mêmes. Nous allons avoir des dérapages et nous nous embrassons. Nous allons avoir des choses grandioses à partager et nous nous embrassons aussi.

Comment définit-on les relations dans la Nouvelle Énergie ? Elles sont sans définition. Nous sommes. Les relations se créent et sans définition veut dire qu’avant le manuel était facile : jeunes gens jolis, homme-femme s’unissent pour toute la vie…la maison...les petits enfants….voilà. Créer des choses, faire de l’argent pour les laisser aux enfants…

Mais quoi maintenant? Maintenant que nous connectons vraiment l’éternel, le grandiose, ce qui est indépendant de toutes les lois humaines, comment le définissons-nous ? Peu importe le sexe, l’âge.

Ce qui importe c’est : « avec toi je m’offre une expérience.» Ceci est l’essence des relations de la Nouvelle Ère. Je ne vais pas les mettre dans une coupe carrée, avec des règles, avec les manuels : « comment utiliser le portable ? », « avec qui puis-je avoir une conversation ou non ? » « Quipuis-je voir ou non ? », «de quoi notre vie va traiter? » « Qu’est-ce que tu as sur le compte?» « Comment le gérons-nous? » Non. Tu te découvres à toi-même et je me découvre à moi-même. Ceci est une aventure, c’est un voyage et une expansion parce que c’est l’Amour…Demande aux psychiatres « Qu’est-ce que l’amour » … L’Amour c’est l’expansion de ce que je suis, point. Et on sent cela comme agréable.

Quand ce que j’expérimente avec une autre personne a une odeur d’égalité, a une odeur « avec toi je suis ce que je suis », ça c’est l’idée. Ceci c’est l’amour. Voici la meilleure définition que je n’ai jamais entendu dire d’un patient, un homme. Surprenant. Un homme instruit et il me disait : « Docteure, je ne sais pas si c’est cela l’amour, mais quand je suis avec elle je suis moi-même. » Waaaouuu ! Cela c’est l’amour.

Alors, quand je suis avec mon partenaire et que je peux être spontané, je peux découvrir le sexe, je peux découvrir sa manière de comprendre la spiritualité, je peux découvrir comment il mange, ce qu’il aime, qui il est et que je m’exprime complètement, cela c’est l’amour.

Que pourrais-je dire de plus de l’amour? Quelles questions auriez-vous ? Je ne veux pas que cela paraisse comme un discours, ce serait comme lancer une pilule concentrée de l’Amour.

Malu: L’Amour est tendresse. L’Amour me permet d’être qui je suis. J’aime cela Tibaire, car de nombreuses fois, ok, je suis une personne qui aime la famille ou je suis une personne qui aime voyager seule, et à un moment donné, je suis une personne qui aime monter sur la terrasse, voir les étoiles à minuit, et bien, que mon partenaire ne s’inquiète pas pour cela. N’est-ce pas ?

Tibaire : Oui- Je l’explique avec une image très claire dans la pratique. Si c’est un chat pourquoi attends-tu de lui qu’il aboie ?

Audience : (Rires) Génial!.

Tibaire: Tout le monde attend d’un zèbre que son cou s’étire et qu’il soit une girafe car c’est le correct. Une fois, un patient me disait : « C’est que, si Dieu était ici, il me donnerait raison. » Et moi,…Waaooouuu. Je ne sais pas si je confierai cela à Dieu! Mais…chacun est comme il est. Et nous ne sommes pas des victimes car waaoouuuu….. Quelle addiction d’être des victimes : “Parce qu’il a dit…” “Il a offert…” “Elle était différente.”

Les gens changent. La vie est changement. L’amour est changement et nous sommes en constante évolution et c’est ainsi qu’à un moment donné nous cadrons bien, mais qu’à un autre moment l’expérience n’a plus de sens. Non pas que nous ayons mal fait. Non pas quenousn’ayons pas fait tout ce qui est juste. Ce n’est pas : nous avons réussi parce que nous avons duré ensemble 100 ans. C’est que l’expérience, ce que nous voulions apprendre l’un de l’autre s’est épuisé, et que faisons-nous à ce moment-là ? Parce que parler d’Amour, c’est agréable, mais dire au-revoir … c’est pour cela qu’existent les contrôles, par crainte que ça termine, la peur de la fin.

Quand arrive la fin, les gens dressent une liste d’erreurs, de fautes, pour pouvoir justifier mentalement leur séparation. Et l’amour n’est pas volatil. Ce n’est pas que l’amour ait déjà changé. Habituellement l’amour est très fort, un courant qui nous unit, nous enveloppe, nous maintient longtemps dans une même direction si nous ne nous maltraitons pas. Simplement : « Je ne le ressens plus. Je ne sens plus d’être avec toi. J’honore ce que nous avons vécu. Je n’ai pas de regrets. Cen’est pas parce que maintenant je ne le sens plus que cela voudrait dire rétroactivement que ça n’a jamais était vrai. Cela a été une merveilleuse vérité, nous l’avons vécue, nous l’avons créée, nous l’avons ressentie, mais c’est que maintenant je ne peux plus continuer à jouer à la petite « princesse dépendante » ou maintenant je ne peux pas continuer à ignorer que je ne sens pas la sensualité que devrait avoir un couple sensuel. »

Lorsque nous parlons de l’amour, homme-femme, femme-femme ou homme-homme, il doit y avoir un composant sensuel, sinon nous ne sommes pas un couple, nous sommes amis. C’est un amour tendre, platonique, de compagnie et les gens s’attachent par peur de la fin de relations souvent vides, sans tendresse, sans l’éclat des yeux, comme ces petites étoiles dans lesquelles nous sommes, dans lesquelles tu es.Les couples qui s’aiment se demandent : Comment ça va? Qu’est-ce que tu fais? Et ils rient, ils trinquent, mangent et profitent. L’amour est simple. Nous le rendons très compliqué. Nous nous remplissons de culpabilité ou nous blâmons autrui si l’amour termine. Et non, simplement il s’épuise et nous nous dirigeons vers une autre direction.

Comment faire pour qu’il dure, si réellement on le sent ? Apprendre à parler. Cultiver l’art de la sexualité. Croire qu’avec juste la tendresse ça suffit, non. C’est une découverte de l’expansion de moi-même. Lire, chercher, demander, découvrir avec l’autre. C’est la créativité. Quand nous cessons d’être créatifs avec nous-mêmes, quand j’arrête d’inventer des choses, d’abord je m’ennuie de moi-même et l’autre également. Alors l’autre a peur car je veux étudier une chose nouvelle, je ne sais pas, faire voler des cerfs-volants ; que se passe-t-il ? Tu fais quelque chose de nouveau et le couple entre en tension,entre en danger. Si ce n’est pas comme c’était avant, « maintenant je ne te connais pas », « tu vas me laisser », « c’est qu’il y a quelqu’un d’autre ». Avoir confiance.

Il y a-t-il quelque chose que Magdala voudrait partager?

Magdala : sœur dans la lumière, merci pour toute ta sagesse. Merci pour cette connaissance si précieuse que tu partages avec nous. L’énergie que l’on sent est très expansive. C’est une présence qui invite à la réflexion, qui invite à nous donner un espace pour cette individualité avant de chercher l’intégration dans n’importe quel type de relations. Et j’aimerai qu’aujourd’hui, tu répondes à une question, sœur, quelles recommandations donnerais-tu à tous ceux qui t’écoutent au sujet des relations qui vont au-delà des relations de couple.

Beaucoup,hors de cet environnement, dans d’autres relations ont demandé: comment puis-je en quelque sorte m’améliorer et me sentir plus joyeux, plus joyeuse, plus heureux ? Comment puis-je transformer ma relation avec ma famille, avec mes parents ? Comment puis-je transformer ma relation avec mon travail ? Comment puis-je transformer ma relation avec l’environnement lui-même autour de moi ? Selon ton expérience, ton humanité, que peux-tu partager avec nous ?

Tibaire: Ok. Une des choses dont je me soucie le plus est la transformation. Quand je veux transformer l’autre, cela ne fonctionne pas. Quand est-ce que je me transforme moi-même? Quand je me transforme, qu’est-ce qui se passe? Il y a une sérénité, une sécurité. Je peux voir comment les tubes, les prises de l’autre veulent m’attacher, mais je n’entre pas dans une argumentation : « Rends-toi compte », « Comprends », j’arrête de jouer ce jeu. C’est comme jouer au Monopoly. Change les règles.

“À partir de maintenant, maman, je ne veux pas me sentir coupable chaque fois que je parle avec toi. Et chaque fois que tu commences ce petit jeu, je vais me retirer. Je t’aime beaucoup, je te respecte, mais je ne permets pas cela. » Je ne me permets pas cela, ce n’est pas que je ne lui ai pas permis. Elle le fait. Je le vois, je l’honore. Ce n’est pas que ça ne va pas me déranger. Rappelle-toi que nous sommes humains aussi. Ça peut me déranger, mais je me retire, je ne joue pas. C’est comme s’il y a un patron : « Tu me dis, je te dis. » « Tu veux me contrôler avec ceci ou avec cela. », avec la culpabilité, avec la peur, il y a toutes sortes de manipulations, les enfants mêmes. Mais quand je me centre en moi-même, je pense que le plus sage est : Je prends une respiration. Ceci m’enchante, nous l’avons déjà entendu. Et voilà la parole magique : «Un moment » Un moment, c’est comme m’accorder un court moment, je me connecte, je veux, je ne veux pas, je reçois ce petit cadeau, je ne le reçois pas. Je peux m’échapper par la gauche, dire au-revoir. Quand tu vas changer, je parlerai avec toi. Mais je n’entre pas dans le jeu, dans l’argumentation.

Il arrive avec les couples que : “Je veux te rendre bon”. C’est comme : “Je veux faire une œuvre d’art avec toi.” L’autre a sa propre peinture. « Je veux que tu sois… je ne sais pas… fidèle…, galant…, souriant» Nous revenons à la même chose. Je ne vais pas te transformer. Je peux choisir de continuer avec toi. Je peux choisir que tu ne me déranges pas comme tu es, je t’accepte complétement. Je peux choisir de partir. Mais je suis conscient de mon choix. Et cela, c’est le plus difficile. C’est moi qui m’offre cette expérience avec toi et je peux choisir de me retirer du jeu. Je ne joue pas au Monopoly. Nous allons jouer un jeu différent, quelque chose d’agréable, quelque chose de respectueux.

Je veux dire : que je comprenne ou non l’autre, celui à comprendre c’est moi-même. Nous avons été attachés à transformer le monde, à améliorer les gens, à améliorer les maris, les épouses, les fils et tout le monde. Non. Chacun est comme il est, mais je n’ai pas à m’asseoir près d’un cactus. Pas de masochisme, pas de karma, rien à supporter, aucune croix. Pour l’amour de Dieu, non.

Liberté. Tu es libre de représenter ce que tu veux, je suis libre de représenter ce que je veux, ma maman, mon papa, mes enfants. Et en général cela change. Et je le répète une autre fois, la tolérance expire. Accepter le prochain, honorer autrui… ça c’est facile, ça c’est dans l’angle de rue de l’au-delà ; mais celui que j’ai en face de moi c’est lui qui me coûte. Et parfois sourire quand quelqu’un me menace avec le feu de l’enfer, mauvais, tu fais cela, tu fais ceci, tu devrais, tu devrais, tu devrais.

Entre adultes il n’y a pas de “tu devrais” et je peux donner mon opinion: ”Il me semble”, “Je sens”, “J’aimerai” –à la première personne- mais, « tu dois, tu dois » ces paroles sont interdites dans les relations d’adultes. Et, lorsqu’un fils atteint 18 ans, c’est un adulte. Bien sûr, dans ma maison, il y a certaines règles –les miennes. Chez lui, quand il pourra se payer sa maison, ce seront les siennes, mais déjà je commence à l’honorer comme adulte. Comment vois-tu cela, toi? Qu’en penses-tu ? Que sens-tu?

C’est peut-être la règle de base, ne pas utiliser ces deux mots : « tu dois » Et laisser aller. Le monde va bien. Le monde est comme il est, pas comme il devrait être. Et cela est valable, entre humains pour chacun. Ma mère est comme elle est, et elle était comme elle était et il faut libérer. Sinon je vais rester coincé dans l’attente qu’elle ait été autrement. Elle a été comme elle a été et c’était parfait. Mais aujourd’hui, je choisis comment je veux que ma relation soit avec elle, avec moi.

Et la note c’est d’essayer de nous voir comme adultes. C’est d’être complets, autonomes, indépendants, et c’est l’idée la plus difficile à transmettre à quelqu’un qui vient pour une consultation de couple. Le conte de « c’est ma moitié », la « moitié de choses », des « moitiés âmes jumelles », à moitié complets, nous poursuit toujours. Le véritable art c’est d’être joyeux moi-même, avec ou sans toi, c’est le véritable art et c’est merveilleux parce que l’autre se contamine. Je n’ai rien à faire. Et comme ma communication est tranquille, je l’invite.

Que faisons-nous avec les passions ? Pourquoi avons-nous notre « chucky» (N.D.T :« petit monstre terrifiant»), nos tripes qui se nouent avec des émotions fortes ?

Une suggestion facile: respire, mais pas au même endroit où se trouve la partenaire ou la personne avec qui tu es fâchée. Je respire et je vais autre part. Je promène monrottweiler (N.D.T :race de chien connue pour son agressivité) dans le parc, d’abord parce que l’adrénaline se consume. L’adrénaline baisse en 20 minutes, je peux commencer à penser. Ensuite, car ce que je dois comprendre que c’est mon « chucky », ma colère, ma douleur, ma frustration, n’importe quoi que je ressente, c’est mien. Je l’amène promener pour le voir, pour converser avec mes jalousies, avec mon insécurité, avec mes peurs, avec mes fantasmes.

Nous avons des fantasmes du passé. Lorsque nous faisons ce petit dessin, plus ou moins ce qui était le conte de fées du passé, il y a comme des petits morceaux de nous qui sont restés collées. Ces petits morceaux sont ceux que nous allons travailler concrètement : ma partie qui aime être victime ou dépendante. A cela, je mets un nom, je la vois et je vais l’intégrer au moment où je la vois réellement et que je l’honore. Ça c’est le travail qu’une personne fait quand elle amène promener ses « chuckies ».

Magdala: J’aime ce concept de “chucky”. Ma sœur, pourrais-tu expliquer à ma chère famille ce que signifie « chuckie » … ?

Tibaire: (riant) Ces “petits monstres” terrifiants dans les films, quand…

Magdala: Je n’ai pas vu ce film.

Tibaire : C’est un monstre horrible. Je l’appelle l’Allien. L’allien, c’est comme le mélodrame, c’est un monstre qui se met à l’intérieur de nous et qui mange tout ce qui est autour de nous. Il s’alimente denous-mêmes. Par exemple au sujet des jalousies. Qui n’a pas senti la morsure des jalousies ? Ça se sent dans les tripes, pas dans la tête. Ça nous ruine une réunion au moment où nous sentons de l’insécurité, de la colère, des jalousies et que nous espérons que l’autre calme cela, que l’autre me sécurise. C’est comme une petite voiture comme celles avec des télécommandes. Ce petit monstre m’appartient, les jalousies c’est moi qui les ai. Je me responsabilise, l’autre n’a pas à me calmer, l’autre ne peut pas, n’a pas le contrôle sur mon petit monstre. Je prends mon petit monstre qui est mon malaise, mes jalousies, et je l’amène promener. Il est mien. S’il ne va pas nous échapper de temps à autre pour faire une réclamation ? Bien sûr que si qu’il va nous échapper et ici c’est là où je dois être aimable, tolérant avec moi-même. Et après, avec le partenaire aussi : « Amour, je suis désolé, je ne sais pas, je suis sorti de mes gonds, je ne sais pas, avec l’allien. »Mais je respire avec lui et je me responsabilise.

Le problème c’est quand j’attends que le changement vienne de l’extérieur, que l’autre me tranquillise, que l’autre me fasse confiance, que l’autre accepte les jalousies qu’il dit que j’ai dans mon imagination.

Et ce sont des concepts qui peut-être sont connus comme plus ou moins faciles, pour ceux avec qui nous sommes connectés, avec les shaumbras. Mais, aller dans la rue et parler aux gens de liberté, d’individualité, d’autonomie, « tu es qui tu es », « tu as ton espace, ton âme complète, tu n’as pas besoin de l’autre, mais tu peux profiter de sa compagnie et partager avec lui » ; les gens te voient comme woua, de quoi me parles-tu ? C’est supposé que tu es ici pour que nous nous accouplions. « Non, non je suis ici pour que tu t’accouples avec toi-même, l’autre s’accouple avec lui-même et ensemble nous en profitons »

L’amour c’est profiter, c’est l’expansion, c’est la Joie et c’est l’auto connaissance.

La Maga: Nous allons attendre un peu. Le temps se termine.

La Maga: Le temps se termine, nous allons respirer. Tu nous as donné quelques conseils merveilleux, Tibaire. Très clairs. Vous pouvez l’écouter autant de fois que vous voulez. Ouvrir à nouveau le site “Awakening Zone”, car vraiment ça a été merveilleux. Magdala veut conclure cette session.

Magdala : Des bénédictions à tous et merci beaucoup ma sœur, ma sœur de l’âme, qui m’a reconnu dès le début. Soutenons cette énergie et permettons que cette Présence, à travers ce partage internet, à travers ce programme, à travers tous les êtres qui créent ce moment sacré, parvienne à tous vos cœurs. Permettons que cette essence au-delà des mots, permettons que la sagesse, la sagesse divine qui a été partagée dans cet espace, touche votre barque.

Permettez que ces pensées incommodes avec lesquelles nous nous identifions souvent soient comme des nuages dans le ciel. Nous les laissons passer. Permettons que l’essence de tout ce qui a été transmis ici remplisse votre barque et votre vie par irradiation et permettons qu’elle se déploie, que cette essence acquière une vie propre en toi, dans tout ton corps, dans ton Nouveau Mental, dans ton Esprit, pour en jouir avec ton âme dans l’Un, dans ta souveraineté et dans ton individualité, pour que tu puisses vraiment avoir une coupe pleine, pour que tu puisses réellement la remplir tellement que qui que ce soit qui vienne à toi puisse y boire par irradiation et non pas par culpabilité, par douleur ou par séduction.

Respire profondément toute la sagesse et l’essence qui a été partagée ici et je veux laisser maintenant à la fin de cet espace, de cette conférence une rose sacrée : je t’invite Maître, je vous invite tous à pratiquer le point de Présence. Rappelez-vous que la conscience est Présence.

Et dans les relations avec autrui, peu importe sa couleur, peu importe ses caractéristiques, ça peut-être avec ton partenaire, ça peut être avec ton amant, ça peut être avec ton épouse ou ton époux, ça peut être avec ta fille, ça peut être avec quelqu’un avec qui tu travailles, permets et respire cette Présence. Reste conscient ; dans la mesure où tu es plus conscient et que ta conscience se déploie, ta Présence est plus que toi. Tu es plus présent partout où tu veux.

Ma chère, bien-aimée famille de Magdala, dans la mesure où tu es plus présent, tu sens aussi cette Présence d’amour de tout ton Être et alors le mental et le passé n’ont pas de contenance car tu es là toi. Ainsi, lorsque tu es présent, tu permets à l’autre Présence d’autrui avec lui-même, de celui avec qui tu es connecté, d’être.

Nous marchons sur le chemin de l’Ascension : soit une présence active, soit une présence aimante, soit une Présente constante dans chaque domaine de ta vie. Et oui, souvent soit une Présence silencieuse et respire, reste ici avec cette Présence au-delà des peurs, au-delà du mental et alors tes relations prendront un autre ton, car tu permets à la Présence de l’autre d’être Une avec la tienne et tu pourras ainsi absorber cette relation, quelles que soient ses caractéristiques. Tu pourras alors absorber une sagesse différente, une expérience différente et aller au-delà.

Je vous invite tous à aller au-delà. Vous êtes en train de créer de nouvelles relations. Vous êtes les pionniers dans les nouvelles relations et rappelez-vous, les Nouvelles Relations n’ont pas de structures. Les relations dans la Nouvelle Énergie manquent de structure. Ne prétends pas les structurer pour autant. Soit une Présence active et aimante à chaque instant de ta vie.

Bienvenus à tous. Bienvenus à cet espace sûr et sacré. Bienvenue à notre invitée. Bienvenus à nous tous qui avons co-créé cette possibilité. Bienvenue à la crise et bienvenue à l’opportunité.

Et c’est ainsi.

Cercle d’Or des Alchimistes de MAGDALA, Marie Madeleine dans la Nouvelle Énergie.

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Raiza Preziuso e Malu Gaxiola, Maîtres de laNouvelle Énergie.

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